Taux de distribution moyen du marché des SCPI selon l’IEIF
Taux de distribution par part de la SCPI Iroko Zen
Investir simplement dans la SCPI Iroko Zen en 4 étapes
épargnants
Les performances passées ne présagent pas des performances futures.
Iroko Zen, l’un des meilleurs taux de distribution en 2023
brut en 2023 (%)
brut en 2022 (%)
(Risque du fonds)
Méthodologie
Une SCPI plusieurs fois récompensée
Les questions fréquentes sur la SCPI
Tous les particuliers peuvent investir en SCPI. Il s’agit d’une alternative à considérer pour les personnes qui souhaitent réaliser un placement immobilier avec un montant d’investissement modeste, ou qui ne préfèrent pas superviser la gestion des biens. Ce placement convient également aux entreprises, qui peuvent s’en servir pour valoriser leurs excédents de trésorerie.
Toutefois, il est important de bien sélectionner la SCPI dans laquelle investir selon ses objectifs :
• obtenir des revenus complémentaires potentiels ;
• développer un patrimoine immobilier ;• diversifier un patrimoine immobilier ;
• préparer sa retraite, etc.
Par ailleurs, toutes les SCPI ne se valent pas et ne proposent pas les mêmes taux de distribution (ou rendement) à leurs associés. Il faut également avoir en tête que les performances passées ne présagent pas des performances futures.
Investir dans une société civile de placement immobilier présente certains avantages.
En l’occurrence, la SCPI offre la possibilité aux investisseurs de diversifier leurs placements en investissant dans des projets immobiliers multiples et souvent inaccessibles aux particuliers (locaux professionnels, logement à plusieurs millions d’euros, etc.).
De la même manière, contrairement à un investissement immobilier classique, avec la SCPI, les risques sont mutualisés entre l’ensemble des investisseurs et grâce aux multiples lots immobiliers détenus par la société civile de placement immobilier.
Notez, par ailleurs, que grâce à la SCPI, il est possible d’investir dans l’immobilier à moindre coût. Le ticket d’entrée varie entre 150 € et 5 000 €, ce qui est largement inférieur au prix d’un appartement traditionnel, par exemple.
Par ailleurs, il s’agit d’un véhicule de placement qui offre une relativement bonne rentabilité en contrepartie d’un risque modéré.
Enfin, dernier avantage et non des moindres, l’investisseur est totalement déchargé de la gestion immobilière des actifs. Il n’a pas à superviser la recherche de biens, de locataires ou à gérer les travaux à réaliser dans les logements. C’est la société de gestion elle-même qui s’en charge.
L’investisseur qui place son argent dans une SCPI n’a que peu de pouvoir de décision. C’est, en effet, la société de gestion qui est décisionnaire sur de nombreux sujets : les biens à acquérir ou vendre, la stratégie à adopter, etc. Ici, contrairement à l’investissement immobilier traditionnel, l’épargnant n’est pas maître à bord, il ne peut pas imposer ses choix, ni utiliser à des fins personnelles les biens de la SCPI. C'est pour cela qu'il est important de se renseigner sur la société de gestion qui gère la SCPI avant d'investir.
Par ailleurs, les frais qui s’appliquent dans le cadre d’un investissement dans une société civile de placement immobilier peuvent être importants. Il existe plusieurs frais : les frais d’acquisition, les frais de souscription, les frais de gestion ou encore les frais de cession lors de la revente d’un immeuble.
En outre, acheter des parts de SCPI est un investissement immobilier à long terme “qui est peu liquide” et le placement n’exclut aucun risque de perte en capital. Les rendements varient en fonction des loyers perçus et ne sont pas garantis.
Les potentiels revenus locatifs issus d’une SCPI sont soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Les investisseurs doivent donc déclarer leur quote-part comme des revenus fonciers (au régime réel ou microfoncier). Ces derniers sont également assujettis aux prélèvements sociaux à hauteur de 17,2 %. Les revenus fonciers issus des loyers perçus à l'étranger sont exonérés des prélèvements sociaux.
Les gains issus de plus-values immobilières dégagées par la société civile de placement immobilier, quant à eux, sont imposés selon la fiscalité des plus-values immobilières. Des abattements s’appliquent selon la durée de détention des parts. D’une manière générale, il faut avoir conservé ses parts au minimum pendant 22 ans pour ne pas payer d’impôt et 30 ans pour ne payer ni impôt ni prélèvements sociaux.
Enfin, les revenus financiers et dividendes issus des placements dégagés par la trésorerie de la SCPI ou de ses participations sont imposés dans la catégorie des revenus de capitaux mobiliers. Il est important de rappeler que le traitement fiscal dépend de la situation individuelle de chacun et est susceptible d'être modifié ultérieurement.